Si le vent n’a pas voulu se reposer pour cette journée, Maria n’a pas voulu tenter sa chance dans des conditions de 18 jusqu’à 31 nœuds pour une moyenne de 25 nœuds. Déjà, gonfler l’aile en plein vent sans avaler de sable ni laisser s’envoler sa chemise tenait de la prouesse. Jean en a profité pour tester la 9m Cabrinha Crossbow et sa petite planche North de 128cm. Très satisfait de son matériel mais les variations intenses du vent ne procuraient pas le plaisir escompté.
Pour un petit bain de soleil, même avec l’aile comme paravent (bon, la protection était minime car elle était pas mal aplatie par le vent fort), le sable s’incrustait dans toutes les parties de nos corps avec les embruns. Nous décidons donc sur l’heure du midi de retourner à l’hôtel en passant comme d’habitude par cette unique route, que les locaux appellent un « highway », où poussent de façon naturelle des nids de poule chers aux touristes en mal de sensation forte. Espérons que les essieux de notre voiture de location tiendront le coup. Jean entend de temps à autres des bruits étranges provenant de la voiture. Hier, il a écrasé une bouteille de verre en roulant dessus. Heureusement, pas de crevaison. Une touriste ayant amené son vélo de route a cassé sa jante la veille. Elle aurait sûrement mieux apprécié un vélo de montagne.
L’eau chaude du lavabo et de la douche est teintée de roux. Cela fait 2 jours que nous avons signalé cette anomalie à la réception mais les réparations se font attendre. Peut-être que c’est la nouvelle méthode pour donner rapidement un teint plus foncé aux touristes !
mercredi 14 avril 2010
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